Les couches de l’aura et les chakras :

Les chakras sont des centres énergétiques qui correspondent à nos principaux plexus nerveux et à nos sens. Ils ont trois fonctions principales :

  1. Vitaliser le corps aurique et, par conséquent, le corps physique.
  2. Influencer divers aspects de la conscience de soi, chaque chakra ayant une fonction psychologique spécifique (ils ont des effets sur les corps éthérique, émotionnel et mental).
  3. Transmettre l’énergie aux champs auriques.

Il est également important de noter que :

  • Les 2e, 3e et 4e chakras correspondent aux centres de volonté dans la partie dorsale et aux centres de sensation dans la partie ventrale.
  • Les 6e et 7e chakras correspondent aux centres mentaux.
  • Les 1er, 2e et 3e chakras sont liés au plan physique, le 4e chakra au plan astral (porte ou pont) et les 5e, 6e et 7e chakras au plan spirituel.

On distingue 7 corps dans l’ordre croissant de densité, en commençant par l’aura la plus dense, située juste après le corps physique :

  1. Le corps éthérique
  2. Le corps émotionnel
  3. Le corps mental
  4. Le corps astral
  5. Le gabarit éthérique
  6. Le corps céleste
  7. Le corps kéthérique

Chaque couche est différente et a une fonction spécifique, associée à un chakra. La relation entre les couches de l’aura et les chakras est la suivante :

  1. Corps éthérique : 1er chakra, lié à l’autonomie et à l’automatisme des fonctions organiques.
  2. Corps émotionnel : 2e chakra, lié à l’aspect émotionnel des êtres humains et véhiculant notre vie émotionnelle et nos sentiments.
  3. Corps mental : 3e chakra, lié à nos fonctions mentales et à la pensée linéaire.
  4. Corps astral : 4e chakra, véhiculant l’amour universel et métabolisant l’énergie de cet amour.
  5. Gabarit éthérique : 5e chakra, destiné à un dessein plus élevé et connecté à la volonté divine, apportant la puissance du verbe.
  6. Corps céleste : 6e chakra, associé à l’amour céleste, embrassant toutes les formes de vie et les considérant comme des manifestations précieuses de Dieu.
  7. Corps kéthérique : 7e chakra, couvrant la pensée supérieure, la connaissance et l’intégration de nos aspects spirituels et physiques.

Chaque couche ne s’étale pas en strates, au sens commun du terme, car elles s’interpénètrent, y compris le corps physique. Les couches structurées contiennent toutes les formes du corps physique, ainsi que d’autres formes non présentes dans celui-ci. Les couleurs et la forme de l’aura évoluent constamment, influencées par la santé physique, les émotions, les relations, l’activité du moment, l’environnement extérieur, etc.

L’énergie doit franchir les chakras pour passer d’un corps à l’autre. L’énergie circule comme un flux d’énergie universelle dans tous les chakras. Chaque tourbillon attire et aspire l’énergie puisée dans le champ d’énergie universelle, il y a un échange d’énergie, on parle alors d’ouverture. Cette ouverture correspond à l’admission et la prise en charge de la conscience associée à cette énergie qui va circuler en nous.

Le matériel psychologique associé à ce champ d’énergie parvient à notre conscience seulement si nous renforçons notre travail sur les chakras. Il est déconseillé d’ouvrir les chakras trop rapidement, car sinon nous n’aurions pas le temps de traiter le matériel personnel libéré et d’intégrer les nouvelles informations à notre vie. Il est nécessaire de gagner en maturité et en clarté.

Les maladies sont souvent dues à un déséquilibre du flux d’énergie ou à un blocage dans son parcours. Un flux insuffisant dans le système énergétique humain peut provoquer des troubles, altérer les perceptions, émousser nos sensations, etc. Les maladies du corps se reflètent dans l’aura et peuvent être diagnostiquées par ceux qui peuvent sentir, voir ou tester l’énergie subtile. La maladie peut être reconnue dans l’aura avant qu’elle ne se manifeste dans le corps, ce qui permet des prévisions précises et une intervention précoce.

“L’homme est « amphibie », mais non pas en ce sens que le corps est une expression de l’âme ou une allusion à l’âme, ni même une projection spatiale du temporel, ni en général une traduction visible de l’invisible :
l’homme est d’abord amphibie en ce qu’il est tout amphibolie, et confusion ou indivision totale du charnel et du psychique. Pas plus que l’espace et le temps ne sont deux « dimensions » symétriques admettant un quelconque rapport de correspondance, le corps et l’âme ne sont deux substances corrélatives capables en droit d’exister l’une sans l’autre”

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